Réputation : Uber contre-attaque avec 70000 entrepreneurs

Paris, Montréal, Nairobi… Uber soulève partout les mêmes débats sur « l’ubérisation » de l’économie. Intéressons-nous à la stratégie de communication de crise du célèbre service de mise en relation entre utilisateurs et conducteurs en mode VTC (Véhicule de Tourisme avec Chauffeur). Comment le cowboy solitaire se présente-t-il en acteur économique responsable ? Pendant que les taxis haussent le ton pour réclamer un renforcement des mesures de contrôle des VTC, Uber dégaine dans le village gaulois son dispositif de relations publiques (ou « e-réputation ») savamment préparé avec Marcel, agence de communication du groupe Publicis. Dernière cartouche : l’emploi L’enjeu pour la firme américaine ? Protéger sa position de leader en France, son 3ème marché, et gommer son image de bandit (antécédents : polémique sur UberPop, défiscalisation, concurrence déloyale, test de voiture sans pilote, etc.). Les arguments consuméristes – commande en un clic, confort d’une diligence de ministre, bouteille d’eau, bonbons, choix de la radio et paiement à…

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