Chez We Are COM, on adore se projeter dans l’avenir pour anticiper les grandes évolutions de notre métier. La team s’est donc amusée à poser une question assez simple (mais fascinante ) à ChatGPT : à quoi ressemblera la communication en 2050 ? Spoiler alert : on parle d’IA consciente, de réalité augmentée et de blockchain. Mais pas que ! Car au-delà des techs futuristes, l’éthique, la transparence et les relations humaines restent au cœur des enjeux.
Alors, sans plus attendre, on vous embarque pour une exploration de la communication dans 25 ans, où innovation rime avec dilemmes moraux (rien que ça !) 🔮
🤖 ChatGPT 4o
« Nous sommes en 2050, et le métier de communicant a profondément évolué sous l’influence des avancées technologiques, des mutations sociales et des attentes toujours croissantes en matière de transparence et d’éthique. Explorons quelques scénarios plus audacieux qui pourraient bouleverser le métier de communicant.
1. Communication symbiotique avec l’intelligence artificielle consciente
Plutôt que de simplement utiliser l’IA pour automatiser des tâches ou prédire des tendances, les communicants pourraient se retrouver à collaborer avec des intelligences artificielles conscientes. Ces IA, dotées de sensibilité et capables d’apprendre en temps réel, ne seraient plus de simples outils, mais de véritables partenaires décisionnels. Elles pourraient comprendre des nuances émotionnelles complexes et anticiper des réactions humaines avec une précision inédite, rendant les interactions humaines-IA encore plus naturelles.
Dans ce contexte, le communicant deviendrait un médiateur entre les machines et les humains, garantissant une symbiose fluide et harmonieuse. Cela poserait aussi de nouveaux défis éthiques : comment gérer des IA autonomes qui pourraient avoir leur propre vision de la vérité, différente de celle des humains ? La question de l’alignement des valeurs entre IA et parties prenantes serait cruciale.
2. Empathie augmentée grâce aux interfaces neuronales
D’ici 2050, les interfaces neuronales (dispositifs reliant directement le cerveau aux systèmes numériques) pourraient permettre d’émettre et recevoir des émotions de manière beaucoup plus directe. Plutôt que de s’appuyer uniquement sur le langage, les entreprises pourraient communiquer des états émotionnels ou des concepts abstraits directement dans l’esprit de leurs parties prenantes.
Cela pourrait transformer la relation avec les publics : l’empathie augmentée permettrait aux communicants de comprendre parfaitement les ressentis de leurs interlocuteurs, avant même que ceux-ci n’expriment un mot. De la même manière, les entreprises pourraient partager leurs engagements et émotions de façon beaucoup plus immersive et authentique. Cependant, une telle technologie poserait des questions éthiques massives : jusqu’où peut-on aller dans cette transparence émotionnelle ? Qu’en serait-il du respect de la vie privée mentale ?
3. La décentralisation totale de la communication
L’un des scénarios les plus radicaux serait celui d’une décentralisation extrême de la communication. Avec l’essor des technologies comme la blockchain et les DAO (Organisations Autonomes Décentralisées), la communication d’entreprise pourrait échapper complètement au contrôle centralisé des organisations. Les parties prenantes elles-mêmes, via des systèmes autonomes, pourraient générer et valider l’information en temps réel.
Le rôle du communicant évoluerait alors vers celui d’un facilitateur de communautés auto-gérées, guidant les parties prenantes dans un environnement où l’information est co-créée de manière collaborative et transparente. Le communicant ne serait plus une source de vérité unique, mais un modérateur d’un écosystème où chaque acteur a le même pouvoir de communication. Cela mettrait fin aux relations verticales traditionnelles, mais nécessiterait aussi une immense compétence en gestion de communautés autonomes et une vigilance constante pour prévenir les dérives de désinformation collective.
4. L’ère post-éthique : les dilemmes moraux des communicants augmentés
Avec l’augmentation du rôle des technologies qui modifient directement les perceptions humaines (comme les biotechnologies ou les réalités synthétiques), le communicant de 2050 pourrait être confronté à des dilemmes moraux inédits. Par exemple, avec des dispositifs capables de manipuler les perceptions sensorielles, le communicant pourrait être tenté de façonner la réalité des parties prenantes pour influer sur leurs décisions.
Dans cet univers post-éthique, la frontière entre vérité et manipulation deviendrait floue. Les entreprises pourraient concevoir des expériences émotionnelles totalement artificielles pour séduire ou convaincre leurs publics, sans qu’il soit clair si ces expériences reflètent une réalité ou une illusion. Le communicant serait alors en première ligne pour arbitrer ces décisions complexes : jusqu’où aller pour convaincre sans trahir la confiance du public ?
5. La disparition du métier de communicant ?
Enfin, il est possible que d’ici 2050, le métier de communicant tel qu’on le connaît disparaisse totalement. Dans un monde où l’intelligence artificielle aurait atteint un niveau d’autonomie complète, où les parties prenantes géreraient leurs propres relations via des systèmes décentralisés, et où les expériences immersives remplaceront les messages traditionnels, la nécessité d’avoir un professionnel dédié à la communication pourrait s’effacer.
L’entreprise, en tant qu’entité centrale, pourrait elle-même s’effacer au profit de réseaux distribués, où la communication serait un flux constant, géré de manière autonome par chaque membre de la communauté. Dans ce scénario, tout le monde serait communicant, et les compétences actuelles se réorienteraient vers des métiers de gestion des écosystèmes, où l’humain n’intervient plus qu’en cas de crise ou d’événements imprévus. »
Après ce voyage futuriste dans la com’ de 2050 100% ChatGPT, une chose se dessine : notre métier va connaître des transformations majeures ! Entre l’émergence des IA nouvelle génération, la décentralisation encore plus poussée de l’information et des expériences augmentées, on voit que le rôle du communicant devrait être perpétuelle redéfinition.
Et quelque soit le futur de notre métier, une constante demeure : l’humain et l’éthique resteront au cœur de notre mission.💡 La technologie, aussi poussée soit-elle, ne remplacera jamais cette capacité unique à créer du lien et à gérer la confiance.