« On nous cache tout, on nous dit rien » chantait Jacques Dutronc. A l’heure du fact checking permanent, ces paroles n’ont jamais eu autant d’écho. Au quotidien, les discours institutionnels – qu’ils émanent d’organisations politiques, d’associations ou de marques – sont questionnés grâce aux médias digitaux qui donnent à tous le pouvoir de se faire entendre. Des consommateurs plus puissants que des attachés de presse et des journalistes ? C’est grave docteur ? Un changement de paradigme… bénéfique Avec Twitter, Facebook, Snapchat et consorts, les marques sont désormais partout avec nous. Elles nous sont accessibles « presque » 24/7. Nous pouvons leur parler, les interpeller d’égal à égal. Une parole « libérée » de toutes contraintes, qui permet aussi à de nouveaux prescripteurs d’émerger. Plus besoin d’être journaliste pour avoir un avis et le dire au plus grand nombre. Un contexte qui peut faire « mal à ma marque » et qui a pu effrayer communicants comme dirigeants. Investir le web, c’est pour une entreprise…